ZEN

* tout public

      

   

 

     

Références et extraits de textes

* « LE ZEN dans l'art chevaleresque du tir à l'arc » E. HERRIGEL  éd. DERVY

Postface : « Dans cet admirable petit livre, M. Herrigel, philosophe allemand qui est venu au Japon et s' est adonné au tir à l' arc pour arriver à comprendre le Zen, donne de sa propre expérience un récit qui nous éclaire. Un des caractères qui nous frappent le plus dans l' exercice du tir à l' arc, et en fait de tous les arts tels qu' on les étudie au Japon, c' est qu' on attend pas des jouissances uniquement esthétiques, mais qu' on y voit un moyen de former le mental, et même de le mettre en contact avec la réalité ultime.»    Daisetz T. SUZUKI    retourpage


* « LE TRÉSOR DU ZEN » Textes de Maître Dogen commentés par Taisen Deshimaru    Albin Michel n°54

Postface : « Voici pour la première fois en Occident une traduction et un commentaire d' oeuvres essentielles du maître Dogen qui, au 13e siècle de notre ère, transmit l' esprit et la pratique du Ch'an, l' esprit de la transmission des Bouddhas et des patriarches chinois au Japon, où il devint le Zen. Présentés et recueillis par Evelyn de Smedt qui a vécu dix ans au contact de maître Taisen Deshimaru en suivant son enseignement, ces textes commentés restituent ici la saveur du Bouddhisme que pourraient symboliser ces paroles de Dogen :

" Vous avez eu la chance unique de prendre forme humaine. Ne perdez pas votre temps. Vous apportez votre contribution à l' oeuvre essentielle de la voie de Bouddha. Qui prendrait un plaisir vain à la flamme jaillie du silex? Forme et substance sont comme la rosée sur l' herbe, la destinée semblable à un éclair - évanouie en un instant.»    retourpage


* « ZEN ET ARTS MARTIAUX »  Taisen Deshimaru    Albin Michel n°38

Postface : « L' esprit du Zen fut introduit au Japon chez un peuple dont la guerre était l' occupation habituelle. Ce fut le génie du Zen de transformer les techniques brutales de la guerre en arts qui ne se souciaient plus seulement de l' efficacité guerrière mais de la recherche de soi-même. Le sabre, l' arc et la flèche, instrument de mort devinrent des supports de méditation. Sous cette influence naquit le Bushido, code d' honneur, discipline chevaleresque qui recommande le désintéressement et le mépris de la mort. Tant et si bien que le Zen fut, cette voie d' éveil, appelé "la religion des samouraïs." En termes vifs et imagés, parfois même en s' amusant, Maître Deshimaru répond aux questions de ses disciples, sans jamais leur faire oublier que Zen et arts martiaux sont l' apprentissage de la vie et de la mort.»    retourpage


* « L'AUTRE RIVE »  Taisen Deshimaru    Albin Michel n°67

Postface : « Je suis bien trop stupide pour devenir Bouddha, mais je veux devenir moine, et voyager, comme le nuage dans le ciel et l'eau du torrent, toujours avec et pour les autres.»

Ainsi Dogen exprime-t-il spirituellement l'idéal du bodhisattva; un être éveillé, dépourvu d'égoïsme, résolu à aider toutes les existences, et conscient de ses responsabilités cosmiques. Telle est la direction qu' Evelyn de Smedt a choisi d'explorer dans ce deuxième volume du Trésor du Zen, consacré à l'enseignement de maître Taisen Deshimaru. Le livre s'ouvre sur un commentaire lumineux des deux textes fondamentaux du bouddhisme mahayana, consacrés respectivement à l'amour universel et à la grande sagesse.

Puis, l'esprit d'éveil lui-même, dans sa relation avec la pratique de la Voie, fait l'objet d'une étude attentive, sur les traces de maître Dogen. Dans la discipline Zen authentique, le satori cesse d'être une notion mystérieuse, pour devenir la clef d'une compréhension renouvelée du corps/esprit : au delà des mots, la saveur d'ici et maintenant.        retourpage

 


* « LA VOIE DU BAMBOU »  Bouddhisme Chan et taoïsme YEN CHAN    Édition Almora

Postface : « A l'ombre d'un Chine qui s'éveille, nouvel eldorado, dragon en quête de reconnaissance, à l'ombre encore du supermarché du Tao qui inonde le monde spirituel de produits de consommation rapide (formations éclair en acupuncture, qi gong pour gens pressés, tai chi panacée et autre méditation intensive pour hommes d'affaires), se tiennent discrètes les traditions vivantes du taoïsme et du bouddhisme chan. Ce livre témoigne pour leur survie en redonnant ses lettres de noblesse à la Grande Étude, celle qui nécessite une vie tournée vers l'Orient de l'esprit.

Théorie et surtout pratique, enseignements traditionnels ainsi que témoignages personnels illustrent cette Voie chinoise du Bambou dont le pictogramme calligraphié en couverture reflète les qualités : fermeté extérieure et vacuité intérieure, vigueur et souplesse, esthétique de la simplicité, épure foisonnante - tel est le coeur du Tao et du chan. Un long développement sur les arts martiaux complète cette étude.»

 

Au cours de ses pérégrinations en Occident puis en Extrême Orient, l'auteur, né en 1961, rencontre le chan chinois, métissage de Taoïsme et de Bouddhisme, dont les enseignements à la fois révolutionnaires et traditionnels proposent la libération « en une vie » et « dans la vie ». Il étudie également les voies de l'attention du Theravada et du dzogchen, ainsi que les arts martiaux internes. Le vénérable Xu Yun pour le chan, Shen Ji Cheng et Lu Ji Tang pour les arts internes du Tao, sont les maîtres des lignages auxquels il se rattache.   retourpage

 


 

 


 

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